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Affaires maternelles : « La Bonne Mère » est un puits

Aug 31, 2023Aug 31, 2023

Du producteur trois fois oscarisé du "Loup de Wall Street", "The Good Mother" suit la journaliste Marissa Bennings qui, après le meurtre de son ex-fils, forme une alliance improbable avec sa petite amie enceinte Paige pour traquer abattre les tueurs. Ensemble, ils affrontent un monde de corruption et de drogue dans les bas-fonds miteux d'une petite ville du nord de l'État de New York. À mesure qu’ils se rapprochent de la vérité, ils découvrent un secret encore plus sombre. Avec Hilary Swank, deux fois lauréate d'un Oscar®, Olivia Cooke et Jack Reynor.

Je n'ai que les meilleures choses à dire sur The Good Mother – un mystère de meurtre astucieux, captivant et intelligent avec un casting puissant, dont Hilary Swank, Olivia Cooke et Jack Reynor.

Fonctionnant comme un film noir classique, The Good Mother suit la journaliste Marissa Bennings (Swank) à Albany, New York, essayant de « briser la paralysie et de gérer le chagrin au milieu de l’une des pires épidémies de drogue de l’histoire ». Elle apprend que son ancien fils, Michael, a été assassiné. Bientôt, Marrisa forme une alliance improbable avec la petite amie enceinte de son défunt fils, Paige (Cooke), une ancienne droguée. Avec l'aide de l'autre fils de Marissa, Toby (un excellent Reynor), policier, les trois travaillent ensemble pour donner un sens à tout et découvrir qui se cache derrière tout cela.

Réalisé par Miles Joris-Peyrafitte (Dreamland), ce film est un film très serré de 90 minutes qui contient toutes sortes de complexités sans laisser le public se sentir dépassé ou court-circuité. Les personnages sont l’élément vital, et tout ce que le réalisateur Joris-Peyrafitte met autour d’eux révèle davantage une lutte en eux.

Olivia Cooke et Hilary Swank dans le rôle de Paige et Marissa dans "The Good Mother".

D'autres films ajouteraient probablement 30 minutes de remplissage et offriraient de nombreuses décharges d'exposition ; cependant, ce n'est pas La Bonne Mère. Le diable est vraiment dans les détails. Chaque instant a un but. Un commentaire sur le collier d'un personnage ou sur la façon dont il se salue vous dit tout ce que vous devez savoir sur chacun et ses relations les uns avec les autres. L'histoire peut être ressentie.

La cinématographie de Charlotte Hornsby mérite également des éloges. Parfois, le cadre met de la distance entre un personnage, offrant encore plus d'informations sans avoir besoin d'une cuillère. Vous trouverez cela incroyablement fructueux si vous vous intéressez à ce qui se passe dans un cadre et à la manière dont le personnage s'y comporte. Cela permet également à l’intensité de l’autocuiseur de gagner sa place. Recherchez des scènes bien exécutées impliquant un téléphone portable et une poursuite dans une gare de triage avec des lumières rouges et jaunes.

Joris-Peyrafitte a visiblement d'autres belles histoires à raconter. Il a une confiance dans le public qui est très appréciée, et son style est tout simplement cool.

La Bonne Mère sera probablement un film largement négligé, et j'espère que davantage de gens le trouveront et apprécieront ses détails.

Jack Reynor dans le rôle de Toby dans "La Bonne Mère".

Le Denton Record-Chronicle a récemment eu l'occasion de s'entretenir avec le réalisateur Miles Joris-Petrafitte à propos de The Good Mother. Dans l'interview ci-dessus, nous discutons du naturalisme du film, des détails qui portent une plume puissante et de la poésie qui a inspiré le scénario et les visuels.

(Un merci spécial à Jack Reynor pour avoir répondu à une bonne question de fan.)

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PRESTON BARTA est membre de la Critics Choice Association et de la Dallas-Fort Worth Film Critics Association. Lisez son travail ici, sur FreshFiction.tv et RottenTomatoes.com. Suivez-le sur Instagram à @bluraydad.

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